Le poème final a été écrit en juillet 2011, à l'occasion d'une animation du vendredi soir, à la demande de Philippe Reichert, organiste de l'église qui a improvisé après sa lecture.
Ce poème est conçu comme un escalier. Il peut se lire en descendant (lecture normale, vers après vers), ou alors en remontant. Il convient alors de lire à partir du bas la marche puis sa contre-marche. C'est-à-dire le vers 2 puis le 1, le 4 puis le 3, le 6 puis le 5... et ainsi de suite jusqu'en haut de l'escalier.
C'est cette dernière lecture qui a été faite lors de la soirée du mois de juillet et lors du culte. Ce poème en acrostiches de "A CIEL OUVERT" s'inspire du triptyque de Sylvie Lander accrochée dans la chapelle des Zorn.
Les diptyques qui précèdent sont inspirés de ceux d'Angelus Silesius.
Ce poème est conçu comme un escalier. Il peut se lire en descendant (lecture normale, vers après vers), ou alors en remontant. Il convient alors de lire à partir du bas la marche puis sa contre-marche. C'est-à-dire le vers 2 puis le 1, le 4 puis le 3, le 6 puis le 5... et ainsi de suite jusqu'en haut de l'escalier.
C'est cette dernière lecture qui a été faite lors de la soirée du mois de juillet et lors du culte. Ce poème en acrostiches de "A CIEL OUVERT" s'inspire du triptyque de Sylvie Lander accrochée dans la chapelle des Zorn.
Les diptyques qui précèdent sont inspirés de ceux d'Angelus Silesius.